NICORETTESPRAY FRUITS ROUGES est indiqué dans le traitement de la dépendance tabagique chez l’adulte pour soulager les symptômes du sevrage nicotinique que l’on ressent lorsqu’on arrête de fumer, notamment les envies irrésistibles de fumer ou la réduction avant l’arrêt complet du tabac. L’arrêt définitif du tabac est l’objectif ultime du traitement. NICORETTESPRAY FRUITS ROUGES doit de préférence être utilisé en association avec un programme d’accompagnement.
Marque | NICORETTE |
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Conseils d’utilisation | Après amorçage de la pompe, ouvrir la bouche et placer l'embout du pulvérisateur aussi près que possible de celle-ci. Appuyer fermement sur la partie supérieure du distributeur pour libérer une dose dans la bouche, en évitant les lèvres. Il est recommandé de ne pas inhaler lors de la pulvérisation afin que le produit n'entre pas dans les voies respiratoires. Pour de meilleurs résultats, éviter de déglutir pendant les quelques secondes qui suivent la pulvérisation. S'abstenir de manger ou de boire lors de la pulvérisation buccale. |
Contre-indications | · Hypersensibilité à la nicotine ou à l’un des excipients. · Enfants de moins de 18 ans. · Personnes n’ayant jamais fumé |
Précautions d’emploi | Ne pas administrer ce médicament aux sujets de moins de 18 ans. Aucune donnée n’existe sur le traitement des adolescents de moins de 18 ans avec ce médicament. Ce médicament ne doit pas être utilisé par les non-fumeurs. Les bénéfices de l’arrêt du tabac sont plus importants que les risques associés à l’usage correct du traitement de substitution nicotinique (TSN). Une évaluation du rapport bénéfice/risque doit être faite par un professionnel de la santé qualifié pour les patients présentant les pathologies suivantes : · Maladies cardio-vasculaires : les fumeurs dépendants présentant un antécédent récent d’infarctus du myocarde, d’angor instable ou s’aggravant, notamment d’angor de Prinzmetal, d’arythmies cardiaques sévères, d’accident vasculaire cérébral et/ou souffrant d’hypertension non contrôlée doivent être encouragés à arrêter de fumer par des méthodes non pharmacologiques (un programme d’accompagnement par exemple). En cas d’échec, le pulvérisateur buccal peut être envisagé, cependant, en raison du nombre limité de données relatives à la sécurité d’emploi dans ce groupe de patients, cela ne peut intervenir que sous surveillance médicale étroite. · Diabète : il est recommandé aux patients souffrant de diabète de surveiller plus étroitement leur glycémie lorsqu'ils arrêtent de fumer et qu'une thérapie de remplacement de la nicotine est mise en place car la libération de catécholamines induite par la réduction des apports de nicotine peut affecter le métabolisme des glucides. · Réactions allergiques : sensibilité aux œdèmes de Quincke et à l'urticaire. · Insuffisance rénale et hépatique : utiliser avec précaution chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique modérée à sévère et/ou d'insuffisance rénale sévère car la clairance de la nicotine et de ses métabolites peut être réduite, ce qui peut augmenter le risque d'effets indésirables. · Phéochromocytome et hyperthyroïdie non contrôlée : utiliser avec précaution chez les patients souffrant d'hyperthyroïdie non contrôlée ou de phéochromocytome car la nicotine provoque la libération de catécholamines. · Troubles gastro-intestinaux : chez les patients souffrant d'œsophagite ou d'ulcères gastriques ou peptiques, la nicotine peut exacerber les symptômes, et les traitements oraux de substitution nicotinique doivent être utilisés avec précaution. |
Âge | Adulte |
Une pulvérisation délivre une dose de 0,07 ml de solution contenant 1 mg de nicotine.
1 ml de solution contient 13,6 mg de nicotine.
Excipients à effet notoire :
· Ethanol 7,1 mg/pulvérisation
· Propylène glycol 12 mg/pulvérisation
· Butylhydroxytoluène 363 ng/pulvérisation