Huile essentielle Ravintsara Bio Dr Valnet - 10ml.
Anti-infectieuse, anti-virale puissante, stimule les défenses immunitaires. Décontractante musculaire.
Expectorante. Neurotonique. Immuno-stimulante.
On l’utilisera donc pour soigner toutes les Infections virales, et notamment la grippe. Mais aussi, contre les sinusites, les rhinopharyngites, certaines bronchites, la coqueluche…
Pour dégager et activer le système respiratoire. Il faut penser à utiliser l’huile essentielle de ravintsara chaque fois que l’on doit stimuler le système immunitaire. Dans tous les cas d’immunodépression. Elle aidera à soigner les hépatites virales, les entérocolites. Très indiquée pour la mononucléose infectieuse.
Elle est remarquable contre l’herpès et le zona, le zona ophtalmique, la varicelle, le typhus.
Pour détendre les contractures et crampes musculaires, en dilution dans une huile d’Arnica par exemple.
Marque | DR VALNET |
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Conseils d’utilisation | VOIE BUCCALE : 1 à 3 gouttes diluées dans du miel ou sur un comprimé neutre. De 1 à 3 fois par jour. Durant 7 à 10 jours, pour lutter contre les états infectieux et pour dynamiser l’état général, l’immunité. SUR LA PEAU : On peut l’utiliser pure sur la peau en onction localisée. Pour un herpès par exemple. Faire quand même un test au pli du coude. En cas d’extrême sensibilité ou de massages étendus, on la diluera dans une huile végétale de jojoba, d’amade douce ou autre. Faire une dilution de 20 % à 40% d’huile essentielle. Pour les infections broncho-pulmonaires, la grippe, masser la nuque, le haut du dos, le thorax, le cou, derrière les oreilles, le nez attention aux yeux. Pour d’autres types d’infections, notamment cutanées, appliquer sur les zones concernées. Pour stimuler le système immunitaire, masser le creux des poignets, la nuque, le plexus solaire et le long de la colonne vertébrale. Par exemple, pour faciliter le rétablissement en cas de mononucléose infectieuse. Pour décontracter des muscles, le dos, les cervicales, masser brièvement plusieurs fois par jour. EN DIFFUSION : On peut respirer quelques gouttes sur un mouchoir ou faire une inhalation en association avec des huiles essentielles d’Eucalyptus, de Niaouli, de Pin sylvestre, surtout pour les affections respiratoires. Ou encore l’utiliser en diffusion atmosphérique avec ces mêmes huiles essentielles et celles d’agrumes, de Lavande… |
Précautions d’emploi | 100 % Huile Essentielle Ravintsara aromatica à cinéole. Extraction par distillation à la vapeur d’eau des feuilles. Remarque : Il y a eu beaucoup de confusions et de polémiques pour différencier les dénominations ravintsara, ravensare, ravintsare… A l’origine, cet arbre poussait en Asie et se dénommait camphrier (cinomomum camphora) en raison de sa forte teneur en camphre. Importé à Madagascar, il s’est croisé avec des espèces endémiques de l’île pour donner ravintsara aromatica qui ne contient presque plus de camphre mais une grande quantité de 1,8 cinéole, ce qui lui donne de grandes qualités thérapeutiques. Donc finalement, on ne trouve qu’une seule espèce végétale nommée ravintsara aromaticamais dont on peut distiller les feuilles ou l’écorce. Avec toutefois des propriétés très différentes. On n’utilise en général que ravintsara aromatica feuilles. Ravintsara aromatica anisata écorce est à déconseiller car d’un moindre intérêt thérapeutique, elle a des contre-indications et surtout la récolte des écorces détruit l’arbre. |
100 % Huile Essentielle Ravintsara aromatica à cinéole.
Extraction par distillation à la vapeur d’eau des feuilles.
Remarque : Il y a eu beaucoup de confusions et de polémiques pour différencier les dénominations ravintsara, ravensare, ravintsare…
A l’origine, cet arbre poussait en Asie et se dénommait camphrier (cinomomum camphora) en raison de sa forte teneur en camphre. Importé à Madagascar, il s’est croisé avec des espèces endémiques de l’île pour donner ravintsara aromatica qui ne contient presque plus de camphre mais une grande quantité de 1,8 cinéole, ce qui lui donne de grandes qualités thérapeutiques. Donc finalement, on ne trouve qu’une seule espèce végétale nommée ravintsara aromaticamais dont on peut distiller les feuilles ou l’écorce. Avec toutefois des propriétés très différentes. On n’utilise en général que ravintsara aromatica feuilles. Ravintsara aromatica anisata écorce est à déconseiller car d’un moindre intérêt thérapeutique, elle a des contre-indications et surtout la récolte des écorces détruit l’arbre.